Les clés en musique: clé de Sol, clé de Fa et clé d’Ut

Vous voyez ce symbole bizarre que l’on trouve en début de partition ? C’est une clé. Les clés les plus connues sont bien évidemment la clé de Sol et la clé de Fa, mais il existe aussi la clé d’Ut. Alors pourquoi existe-t-il plusieurs clés en musique ? Et surtout, à quoi servent-elles concrètement ? C’est ce que vous verrez dans la suite de l’article!

I / Qu’est-ce qu’une clé en musique ?

La clé, c’est ce symbole que vous voyez toujours en début de portée musicale.

Il existe trois grands types de clés :

  • La clé de Sol (ou clef de Sol)
  • La clé de Fa (ou clef de Fa)
  • Et la clé d’Ut (ou clé de Do)


II / A quoi sert une clé en musique ?

En dehors d’être des motifs de tatouages très prisés, les clés permettent d’indiquer le nom qu’auront les notes de musique sur la portée ainsi que leur hauteur.

1) La clé détermine le nom des notes de musique

La clé est l’élément musical permettant de déterminer le nom des notes sur la portée. Ce qui veut dire qu’en fonction de la clé utilisée, deux notes situées au même niveau sur la portée n’auront pas le même nom.

Par exemple, on voit ici qu’on a des notes en clé de Sol et en clé de Fa. Si on se contente du visuel, on se dit que c’est la même chose. Mais en clé de Sol, ces notes correspondent à Do, Si, La alors qu’en clé de Fa il s’agit des notes Mi, Ré, Do.

A partir de là, vous allez surement me demander : comment déterminer le nom des notes en fonction de la clé utilisée ? C’est très simple : la clé donne son nom à la ligne de portée qu’elle pointe.

Par exemple, la clé de Sol entoure la deuxième ligne de portée. Elle va donc donner son nom (Sol) à la note située sur cette ligne.

A partir de là, puisque l’on sait que les notes Do, Ré, Mi, Fa, Sol, La, Si se suivent toujours dans l’ordre, il sera très facile de déterminer le nom des autres notes.

La note située directement en dessous du Sol sera un Fa, et la note située directement au-dessus sera un La. Sur le même principe, la note située au-dessus du La sera un Si, puis encore au-dessus un Do, et ainsi de suite.

Autre exemple : la clé de Fa pointe la quatrième ligne de portée. Elle va donc donner son nom (Fa) à la note située sur cette ligne.

A partir de là, on en déduit que la note située directement en dessous sera un Mi, que la note située directement au-dessus sera un Sol, puis ensuite un La etc…

Après bien évidemment, pour bien savoir lire les notes en clé de Sol et en clé de Fa, ça demande du temps et de la pratique. Mais si vous voulez accélérer votre apprentissage en ayant directement les bonnes infos, les bonnes méthodes, et les bons exercices entre les mains, je vous invite à participer à ma formation « Solfège Pratique ».

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2) La clé détermine la hauteur des notes de musique

La hauteur d’une note, c’est à quel point est-ce qu’elle est grave ou aigüe.

Comme nous l’avons vu dans mon article sur la portée, cette information nous est déjà donnée par la position des notes sur la portée. En effet, plus une note est basse sur la portée et plus elle sera grave. Au contraire, plus une note est haute sur la portée et plus elle sera aigue.

Mais cette information est incomplète car la position des notes sur la portée nous renseigne que sur la hauteur relative des notes. Autrement dit, grâce à ça on peut déterminer si une note est plus grave ou plus aigüe qu’une autre. Mais rien ne nous indique où jouer exactement ces notes sur l’instrument.

Par exemple, si je reprends mon schéma précédent :

On est en capacité de dire que ces trois notes sont Do, Si, La et que par rapport à sa position sur la portée, la note Do est plus aigüe que la note Si, qui est elle-même plus aigue que la note La. Mais à quel point est-ce que cette note Do est aigue ? Autrement dit, à quel Do est-ce qu’elle correspond exactement ?

Cette information, c’est la clé qui nous la donne. La clé permet en effet de fixer la hauteur des notes de musique. Grâce à elle, on saura exactement où les jouer les sur l’instrument.

Par exemple, sur un piano, ces notes Do, Si, La en clé de Sol se jouent à partir de la cinquième octave. En clé de Fa, les notes Mi, Ré, Do se jouent sur la troisième octave etc.


III / Les différentes clés en musique

1) Les 7 clés musicales

Jusqu’à présent, nous avons vu qu’il existait trois grands types de clés : la clé de Sol, la clé de Fa, et la clé d’Ut.

Ces trois clés correspondent en fait aux trois familles de clés musicales. Mais dans la musique actuelle, on ne dénombre pas moins de sept clés différentes :

  • La clé de Fa 3
  • La clé de Fa (qui est officiellement la « clé de Fa 4 »)
  • La clé d’Ut 1
  • La clé d’Ut 2
  • La clé D’Ut 3
  • La clé d’Ut 4
  • La clé de Sol

2) Pourquoi existe-t-il plusieurs clés en musique ?

Alors pourquoi sept clés différentes ? Est-ce qu’il n’aurait pas été plus simple d’avoir une clé unique pour les gouverner toutes comme l’anneau de Sauron ?

Une fois n’est pas coutume, pour le savoir nous allons remonter le temps.

a) L’origine des clés musicales

Au commencement sept anneaux furent forgés. Nous voici retourné au Moyen Age. A cette époque, la musique était avant tout liturgique et chantée.

Pour se transmettre les chants, les moines avaient recourt au système de « neumes » : des symboles situés au-dessus des paroles permettant d’indiquer les variations de la voix. Mais avec le temps et sous l’impulsion de personnes comme Guido d’Arezzo, ce système changea au profit des notes et de la portée musicale.

Tout l’enjeu consista alors à trouver un moyen de restituer toutes les notes de musique contenues dans la voix humaine sur la portée. Si l’on tente de placer toutes ces notes sur une portée unique voilà ce que ça donne :

Pas très lisible n’est-ce pas ? C’est pour cette raison que les musiciens de l’époque ont eu l’idée de diviser cette portée générale de onze lignes en groupes de trois portées de cinq lignes beaucoup plus lisibles.

Le premier groupe de portées était celui qui entourait le Do central de la portée générale. Pour marquer ce Do et ainsi signifier que l’on se situait au milieu de la portée générale, on plaça le symbole C (le nom de la note dans le système anglo-saxon), devant le Do.

Au fur et à mesure du temps, ce C se stylisa pour devenir la clé d’Ut que vous connaissez tous aujourd’hui.

Et si on appelle cela une clé, c’est justement parce que sans ce symbole, on aurait été incapable de savoir où se situait ce fragment de cinq lignes par rapport à la portée générale.

De la même manière, on créa un deuxième fragment de cinq lignes pour détacher les cinq lignes du bas de la portée générale. Pour repérer ce groupe, on marqua le Fa avec le symbole F correspondant au nom de la note.

Et là encore, au fur et à mesure du temps ce F fut stylisé pour devenir le symbole de la clé de Fa actuel.

Enfin, le troisième fragment fut constitué des cinq lignes supérieures de la portée générale. Pour le marquer, on plaça un G devant la note Sol qui se transforma peu à peu en clé de Sol.

Au fur et à mesure du temps, ce système de division de la portée générale s’est étoffé pour passer de trois groupes de cinq lignes à sept groupes de cinq lignes, ce qui donna naissance aux sept clés musicales.


b) L’utilité d’avoir plusieurs clés aujourd’hui

En définitive, on voit que les différentes clés ont été inventées pour des questions de lisibilité. Plutôt que d’utiliser toutes les lignes de la portée générale, on préféra utiliser des groupes de cinq lignes en fonction de la hauteur des notes à notifier sur partition.

Par exemple, si l’on souhaitait notifier des notes graves (pour les parties chants des baritons), on utilisait le fragment de portée générale correspondant aux cinq premières lignes. Autrement dit, on utilisait la clé de Fa.

De même, pour notifier des notes aigues (comme le chant des sopranos), on utilisait le fragment de portée générale correspondant aux cinq dernières lignes. Autrement dit, on utilisait la clé de Sol.

Et aujourd’hui encore, s’il existe plusieurs clés c’est pour la même raison. Dans le paysage musical, on retrouve des instruments aux tessitures complétement différentes. Par exemple, la contrebasse produit des sons très graves, alors que la flûte traversière produit des sons très aigus.

On a donc recours aux différentes clés pour pouvoir retranscrire aux mieux les notes de cette multitude d’instruments sur les cinq lignes de la portée. Le but étant d’utiliser à chaque fois une clé adaptée à la tessiture de l’instrument, c’est-à-dire une clé permettant de retranscrire au maximum les notes de l’instrument sur les cinq lignes de la portée.

On privilégiera ainsi l’utilisation des clés de Fa pour les instruments à la tessiture grave, les clés d’Ut pour les instruments à la tessiture medium, et la clé de Sol pour les instruments à la tessiture aigue.


IV / Utilisation pratique des différentes clés

Justement, voyons maintenant un peu plus en détail quel instrument utilise quelle clé.

Pour cette partie, on va uniquement se concentrer sur l’utilisation des quatre clés les plus courantes : la clé de Sol, la clé de Fa (4), la clé d’Ut 3 et la clé d’Ut 4.

1) La clé de Sol

Clef De Sol Png - Image gratuite sur Pixabay

C’est la clé la plus connue et la plus utilisée. Elle permet de retranscrire les sons aigus sur partition.

Aujourd’hui, on utilise la clé de Sol pour :

  • Les voix (sauf pour les voix très graves où on utilisera plutôt la clé de Fa)
  • Les Instrument à cordes : violon, guitare
  • Les Instruments à vent (bois) : flûte, hautbois, clarinette, saxophones
  • Les Instruments à vent (cuivres) : trompette
  • Les Claviers (main droite) : piano, orgue, accordéon

2) La clé de Fa

Illustration vectorielle gratuite de Clé de FA gratuit | AI, SVG, EPS

Deuxième clé la plus connue et la plus utilisée, la clé de Fa permet de retranscrire sur partition les sons graves.

La clé de Fa est utilisée pour :

  • Les instruments à cordes : violoncelle, contrebasse, guitare basse
  • Les instruments à vent (cuivres) : trombone, tuba, cor
  • Les claviers (main gauche) : piano, orgue, accordéon

3) La clé d’Ut 3

Cette clé d’Ut est beaucoup moins utilisée que la clé de Sol et la clé de Fa. Elle permet de retranscrire sur partition les sons mediums.

Aujourd’hui, elle est surtout utilisée pour le violoncelle, le trombone et la contrebasse pour leur registre aigu. (Pour leur registre grave, on utilise plutôt la clé de Fa).

4) La clé d’Ut 4

Tout comme la clé d’Ut 3, elle permet aussi de retranscrire les sons mediums (mais légèrement plus aigus que ceux de la clé d’Ut 3).

De nos jours, elle est principalement utilisée pour le violon alto.

Conclusion

Voilà les amis pour cet article sur les clés en musique ! J’espère qu’il vous a plu et que vous avez pu y apprendre plein des choses. Ça me tenait à cœur de vous proposer un tel article car en tant que grand curieux, je me suis toujours demandé pourquoi est-ce qu’il existait plusieurs clés.

En tout cas si mon travail vous plait et que vous souhaitez le soutenir (parce que je peux vous garantir que ça m’a demandé un paquet de temps et de recherches pour vous pondre un tel article), vous pouvez poster un commentaire, partager l’article sur vos réseaux, vous abonner à la chaîne Youtube de Composer sa Musique, et bien évidemment participer à l’une de de mes formations en ligne !

Si vous avez lu cet article, je suppose que vous êtes intéressés par le solfège. Alors si vous souhaitez le maîtriser une bonne fois pour toute grâce à une formation qui vous explique les choses de façon simple et concrète, je vous invite à rejoindre Solfège Pratique ! Pour tout savoir sur cette formation, cliquez sur le bouton ci-dessous :
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Sur ce, je vous dis à très vite pour de nouveaux articles. 😉

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24 commentaires


  • Chaigne

    Magnifique, réussir en quelque paragraphe de synthétiser les clés musicales avec clarté et précision, c’est de l’ordre du grand pédagogue, rare sont comme vous les articles toujours bien documentés et lisibles pour les néophytes que nous sommes continuellement en découvrant de nouveaux éléments à nos connaissances.
    Je connaissais déjà bien le sujet, mais là chapeau pour vos recherches, je suis de nouveau surpris par votre passion musicale, jusqu’au symbole des créations évolutives des clés.
    Un grand Merci.
    Jacki Chaigne

    Répondre

  • Jean BUSSER

    Bonjour.

    Bravo, Alex.
    A presque 80 ans je comprends (enfin) le pourquoi de toutes ces clés qui compliquent tout de même bien les choses : au clavier en effet, je n’arrive pas à déchiffrer simultanément la main gauche ET la main droite….

    Un grand merci !
    Bien cordialement,
    Jean

    Répondre

  • Nico

    Merci Alex pour ton nouveau joyaux d’article.
    Depuis que je te suis, j’ai tout appris du solfège (menteur, t’en savais déjà 3%)
    En comparaison avec les articles d’autres experts, pointus en la matière, des vrais bêtes, je suis parvenu à la compréhension avec les tiens. Quand j’en lis d’autres j’ai l’impression qu’il faut être du style Thomas Pesquet, tu sais, le mec qui naît une fois tout les cent ans pour orienter le sort de l’humanité, style QI 160 (Albert Einstein)
    Mais, comme tu abordes tellement de thèmes dans le domaine musical, je finis toujours par lire un de tes tutos, qui m’amène enfin à la compréhension. L’historique des concepts, le pourquoi de chaque trucs, c’est passionnant et accessible…
    Du coup je suis patient, qu’en j’aborde un nouveau truc, j’attends Alex pour la clé (de sol) de décryptage.
    Merci beaucoup Alex avec ton équipe. Continue à nous enseigner …

    Répondre

  • Luc Millette

    Merci Alex ! Très intéressant, je suis déjà inscrit a la formation Solfège pratique, j’ai terminé le module 1 et j’ai beaucoup progressé C’est vraiment bien fait et facile a comprendre extra …
    et merci encore

    Répondre

  • GRENADIN

    Bonjour Alex,
    Apprendre le solfège avec la méthode d’Alex, est le Top, de plus on peut poser des questions après chaque cours et au coaching commun tous les mois, franchement; c’est le Top des Tops.

    Répondre

  • Cledia

    super! j aime cette article
    ça donne vraiment envie d en apprendre plus en profondeur
    Grand merci Alex

    Répondre

    • Alex

      Je t’en prie Cledia ! Merci à toi pour ton commentaire super sympa. 🙂
      Pour apprendre tout le solfège en profondeur, ça se passe au sein de ma formation « Solfège Pratique« . 😉

      Répondre

  • Irène

    Très instructif et très intéressant!
    Toujours expliqué de façon pédagogique.
    Merci pour tout ce temps passé à écrire un article aussi complet et documenté.

    Répondre

  • Tugdual

    Bonjour Alex
    Merci pour cet article passionnant !
    J’ai suivi la formation solfège pratique il y a maintenant 2 ans et je me plonge régulièrement dans mon (gros) classeur de cours qui est ma mine d’or à moi…!
    J’apprécie avec toujours autant de plaisir tes nouveaux articles même si j’en connais maintenant un peu (beaucoup…) plus sur la théorie musicale… je les dévore à chaque fois que je peux et cela me donne souvent l’envie de me refaire une partie du cours.
    La dernière semaine j’ai repris tout ton chapitre sur les gammes et les modes car je suis enfin arrivé à un niveau suffisant pour m’y consacrer à la guitare … et miracle… ton cours est tout simplement LE support indispensable pour ma compréhension ..!!
    Un immense merci pour la qualité de ton travail et l’investissement sans faille dont tu fais preuve.
    Je suis fier d’avoir croisé ton chemin dans cette immensité internet et surtout d’avoir franchi le pas en m’inscrivant à ton cours…!!!
    Continue comme ça !
    Tugdual

    Répondre

  • Pierre-Louis Malatray

    Merci Alex, toujours clair, précis et simple. C’est une joie d’apprendre avec toi 🙂

    Répondre

  • med

    merci bcp prof trés interessant je dormirai moins béte

    Répondre

  • Monique

    Merci pour le temps que tu passes à pondre tous ces articles et tutos, tes propos sont toujours très clairs.

    Répondre

    • Mamapetmoi

      bonjour Alex. Quel article intéressant !
      La musique ne s’est pas faite en un jour et c’est passionnant d’en voir toutes les étapes !
      Par contre, si je puis me permettre, je pense qu’il y a une inversion concernant les clés d’Ut 3 et 4. je suis violoncelliste amateure et nous utilisons la clé d’ut 4 et mon voisin d’orchestre altiste utilise la clé d’ut 3
      Je termine par un merci pour toutes tes vidéos et pour tout le travail que ça représente derriere

      Répondre

  • Nassoukou

    La théorie musicale m’intéresse beaucoup,je veux être comme Faure Gabriel etc merci.

    Répondre

  • Montaldo

    Merci pour cet éclairage complet et clair. Bonne continuation. Philippe

    Répondre

  • Olivier

    Bonjour,
    Excellent article ! J’ai entendu parler de la clé d’ut pour la première fois il y a 2 jours. J’étais curieux, et j’ai compris beaucoup de choses grâce à vous. Merci infiniment !
    Serge

    Répondre

  • Francois GOUTTÈS

    Je pense qu’il y a une erreur.
    Le violon alto s’écrit en clé d’ut 3ème ligne et en clé de sol, et non en clé d’ut 4ème ligne.

    Répondre

  • Claude

    MERCI Alex . Quelle clarté, tu es le seul à avoir su expliquer le rapport entre les clefs, car il y en a un en effet. Elles se suivent et se chevauchent. Le défi était dez le faire comprendre.
    Et c’est parfaitement réussi, très clair.
    Mais il me reste une question: comment sont notées les notes tout en bas du clavier piano? Elles ne sont pas reprises dans la clef de FA…
    Claude

    Répondre

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