Cycle des quintes le guide ultime (2/4): Créer des accords et des gammes avec le cycle

Maintenant que vous connaissez tout de la construction du cycle des quintes, voyons comment l’utiliser pour créer des powerdords, des accords à trois sons majeurs et mineurs, et des gammes majeures et mineures.

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Retranscription texte de la vidéo

Salut les amis, ici Alex de Composer sa Musique.fr, le site qui rend accessible à tous le solfège, la compo et le home studio. Bienvenue à vous dans cette nouvelle vidéo dans laquelle on va voir comment utiliser le cycle des quintes pour créer notamment des accords et des gammes.

Cette vidéo fait directement suite à mon précédent tutoriel dans lequel on a vu comment décrypter le cycle des quintes. Donc si ce n’est pas encore fait, je vous invite à aller le voir en cliquant ici, sinon vous n’allez pas comprendre grand-chose à ce qui va suivre. C’est un peu comme le Marvel Cinematic Univers, avant de regarder « Avengers Infinity War », il faut être sûr d’avoir bien vu les films précédents de la licence. (Eh oui vous ne rêvez pas, je viens bien de comparer un tuto musical à un film de super héros). 😉

Ce que vous devez faire aussi si ce n’est pas encore fait, c’est de vous abonner à la chaine Composer sa Musique en activant la cloche. Ça se fait en un claquement de doigt, et ça vous permettra d’être sûr de ne rien manquer des prochains tutos. Sur ce, allons-y pour cette seconde vidéo de la série sur le cycle des quintes !

La première chose à savoir pour être en mesure d’utiliser le cycle, c’est qu’il est possible de le regarder de trois façons différentes.

Introduction : Les 3 façons de voir le cycle des quintes

La première façon, c’est de le voir comme un ensemble de notes. Donc selon cette vision, on va considérer que tout ce qui se trouve sur le cycle des quintes ce sont des notes.

La deuxième façon de voir le cycle, c’est comme un ensemble d’accords. Donc on change de lunettes et on considère cette fois-ci que tout ce qui se trouve sur le cycle, ce sont des accords. Et par rapport à la façon dont est construit le cycle, les accords qui sont au niveau du cercle extérieur sont majeurs et ceux qui sont au niveau du cercle intérieur sont mineurs.

Et enfin, la troisième façon de voir le cycle c’est comme un ensemble de tonalités. Donc on change encore une fois de lunettes (parce qu’on en possède beaucoup de paires), et on considère cette fois qu’on a des tonalités sous les yeux.

Tout comme les accords, les tonalités situées au niveau du cercle extérieur sont majeures et celles situées au niveau du cercle intérieur sont mineures. Je rappelle également que les tonalités du côté droit du cycle (plus celle à 7h) sont celles avec des dièses, et les tonalités du côté gauche du cycle (plus celle à 5h) sont celles avec des bémols. Ce qui fait qu’au bas du cycle, (aux positions 5h, 6h et 7h), on a des tonalités enharmoniques. Je vous renvoie à mon précédent tutoriel pour plus d’informations sur la façon dont est construit le cycle.

Pourquoi est-ce que je vous parle de ça ? Parce que justement, les utilisations qu’on va pouvoir faire du cycle des quintes dépendent de la façon dont on le regarde. C’est-à-dire que si on le regarde comme un ensemble de notes on va pouvoir faire certaines choses, si on le regarde comme un ensemble d’accords on va pouvoir faire d’autres choses, et si on le regarde comme un ensemble de tonalités on va pouvoir faire encore d’autres choses. Et donc ce que je vous propose, c’est de sortir une vidéo pour chacune des façons de regarder le cycle. Comme ça vous aurez une vision exhaustive de son utilisation.

Eh ben si ça vous va, je vous invite tout de suite à enfiler votre première paire de lunettes puisque dans cette vidéo, on va voir comment utiliser le cycle des quintes lorsqu’on le voit comme un ensemble de notes.

I / Créer des power chords

La première chose que vous pouvez faire grâce au cycle des quintes en le voyant comme un ensemble de notes, c’est de créer des power chords.

1) Qu’est-ce qu’un powerchord ?

A la base c’est un accord majeur ou mineur à trois sons auquel on a retiré la tierce. Donc au final, un powerchord c’est un accord à deux sons constitué uniquement de la fondamentale et de la quinte.

Alors attention : je mets le mot « accord » entre guillemets, parce que pour les Jean Michel puristes on parle « d’accord » seulement à partir du moment où on a trois notes ou plus jouées simultanément. Deux notes jouées ensemble normalement on appelle ça un « intervalle harmonique ». Mais bon, dans le langage courant ça arrive quand même fréquemment qu’on appelle ça un « accord ».

2) A quoi servent les powerchords ?

A quoi peuvent bien servir les powerchords ? Le fait qu’ils ne soient constitués que de deux notes leur confère à l’oreille une certaine puissance. D’ailleurs c’est de là qu’ils tirent leur nom car on peut traduire « powerchords » par « accords de puissance ». Donc grâce à leur sonorité puissante, on retrouve souvent les powerchords dans le rock, le hard rock ou le métal. Du coup si vous avez envie d’insuffler un peu de testostérone dans vos chansons, ne cherchez plus : utilisez des powerchords. Par exemple le riff légendaire du morceau « Smells Like Teen Spirit » de Nirvana, est construit à partir de powerchords. Ce sont les powerchords de Fa, Sib, La et Réb.
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3) Powerchords et cycle des quintes

Et donc quel est le rapport entre ces powerchords et le cycle des quintes ? Comme on vient de le voir, un powerchord c’est un accord majeur ou mineur auquel on a retiré la tierce. Donc si on prend un accord majeur qui je le rappelle, est constitué d’une tierce majeure (soit 2 tons) entre sa fondamentale et sa tierce et d’une tierce mineure (soit 1,5 tons) entre sa tierce et sa quinte et qu’on retire sa tierce, au final on obtient un intervalle de quinte juste (3 tons et demi) entre sa fondamentale et sa quinte. (Pour plus d’informations sur la façon dont sont construit les accords, vous pouvez lire mon article sur le sujet en cliquant ici).

Et pour l’accord mineur c’est la même chose : il est constitué d’une tierce mineure (soit 1,5 tons) entre sa fondamentale et sa tierce et d’une tierce majeure (soit 2 tons) entre sa tierce et sa quinte. Du coup si on enlève sa tierce, on obtient aussi un intervalle de quinte juste entre sa fondamentale et sa quinte.

Or comme vous le savez, sur le cycle on ne retrouve que des notes séparées par un intervalle de quinte juste. Donc en fait, c’est un peu comme si on avait des powerchords partout.  Du coup, pour construire un powerchords à partir du cycle, il suffit de prendre une note, et celle qui arrive juste après. Par exemple, pour créer le powerchords de Sol, il suffit de prendre le Sol et la note qui arrive juste après sur le cycle c’est-à-dire le Ré. Pour créer le powerchords de Réb, on prend le Réb et la note qui arrive juste après : le Lab. Pour créer le powerchords de Fa#, on prend le Fa# et le Do# et ainsi de suite.

La deuxième chose pour laquelle vous pouvez utiliser le cycle des quintes, c’est la construction de gammes. Plutôt que d’apprendre par cœur toutes les gammes qui existent, vous pouvez utiliser le cycle pour les construire facilement.

II / Construire des gammes

1) Construire une gamme majeure

On va commencer par voir comment construire une gamme majeure. Rappelez-vous, si on regarde le cycle comme un ensemble de tonalités, on sait que les gammes majeures se situent au niveau du cercle extérieur. Donc logiquement, pour construire une gamme majeure, vous devrez prendre comme note de départ de la gamme, une note située sur le cercle extérieur.

Admettons qu’on veuille par l’exemple construire la gamme de Ré Majeur.

On va donc commencer par prendre le Ré situé sur le cercle extérieur du cycle.  Maintenant, comment est-ce qu’on fait pour déterminer les autres notes de la gamme ? Pour ça, on va tracer une zone qui comprend les deux notes voisines de la note de départ (donc le Sol et le Ré), plus toutes celles qui se situent en dessous (le Mi, le Si, et le Fa#). Ce qui nous fait un total de six notes.

Et à ce paquet, on va ajouter une septième et dernière note. On va commencer par repérer dans notre paquet la note du cercle intérieur qui est la plus avancée dans le sens horaire: c’est le Fa#. Et à partir de là, comme à la Bonne Paye, on va avancer d’une case ce qui nous donne le Do#. Eh ben voilà : Do# c’est la dernière note de la gamme, et ce qu’on obtient dans le paquet ce sont justement les sept notes différentes de la gamme de Ré Majeur.

Mais comme vous le savez, une gamme c’est par définition sept notes qui se suivent toujours dans l’ordre, plus la tonique qui est répéter à l’octave. (Voir mon tutoriel sur les gammes pour plus d’informations sur le sujet). Du coup pour obtenir notre gamme en bonne et due forme, on va devoir remettre toutes ces notes-là dans l’ordre. Donc la première note de la gamme c’est le Ré (puisqu’on veut la gamme de Ré Majeur), ensuite vient le Mi, puis le Fa#, le Sol, le La, le Si, le Do#, et enfin le Ré qui est la première note répétée à l’octave. Et voilà, le tour est joué. Vous avez vu ? C’est tout simple !

Est-ce que vous voulez un autre exemple ? Comme diraient nos amis forains « est ce vous en voulez encore ? Oui ? Eh ben c’est parti !!! On va construire ensemble la gamme de Lab Majeur.
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Du coup on part du La situé sur le cercle extérieur du cycle.  Ensuite on trace une zone qui comprend les deux notes voisines plus toutes les notes qui se situent directement en dessous. Ce qui nous donne les notes Mib, Do, Lab, Fa, Réb, Sib / La#. Vous voyez qu’ici il y a une petite subtilité car on a une enharmonie. On a en même temps les notes Réb/Do# et Sib/La#. Du coup lesquelles garder ? C’est très simple : une gamme ne peut contenir à la fois des dièses et des bémols. C’est soit l’un, soit l’autre. Or, comme il y a déjà des bémols dans notre paquet, on sait qu’on va devoir garder les notes avec des bémols, c’est à dire Réb et Sib.

Et pour la septième note de la gamme, on repère dans notre paquet la note du cercle intérieur qui est la plus avancée dans le sens horaire (c’est le Do) et on prend la note voisine, le Sol. Il ne nous reste plus qu’à remettre les notes dans l’ordre et à répéter la tonique à l’octave pour obtenir la gamme. Ce qui nous donne : Lab, Sib, Do, Réb, Mib, Fa, Sol et Lab.

2) Construire une gamme mineure

Comment faire maintenant pour construire une gamme mineure ? Ce sera quasiment la même chose que pour les gammes majeures, à ceci près que forcément, puisqu’on veut une gamme mineure, la première note de la gamme sera au niveau du cercle intérieur.

Je vais quand même vous redonner un petit exemple vite fait : admettons qu’on veuille construire la gamme de Do# mineur.

On part du Do# qui est situé sur le cercle intérieur, on trace une zone qui comprend les deux notes voisines (le Sol# et le Fa#), et on englobe toutes les notes situées cette fois ci directement au-dessus (donc le Si, le Mi et le La). Pour la septième note, on repère toujours dans notre paquet la note du cercle intérieur la plus avancée dans le sens horaire, c’est le Sol#, et à partir de là, on prend sa note voisine : le La#. Pour terminer, il ne nous reste plus qu’à classer les notes dans l’ordre et le tour est joué. Au final on obtient Do#, Ré#, Mi, Fa#, Sol#, La, Si, et Do#.

Juste une dernière précision : vu la façon dont est construit le cycle, cette technique ne fonctionne pas pour construire les gammes à sept dièses et à sept bémols. Donc plus précisément les gammes Dob Majeur / Lab Majeur à sept bémols, et les gammes Do# Majeur / La# Mineur à sept dièses. Mais bon après ce n’est pas très grave car vous savez que par définition, toutes les notes de ces gammes sont soit dièses soit bémols. Du coup elles sont hyper faciles à construire.

Et enfin, la dernière chose que vous pouvez faire grâce au cycle des quintes en le voyant comme un ensemble de notes, c’est construire facilement des accords majeurs et mineurs à trois sons.

III / Former des accords

1) Former des accords majeurs

Commençons par le premier cas de figure : comment construire des accords majeurs grâce au cycle des quintes ? Déjà le premier réflexe à avoir vous le connaissez : puisqu’on veut un accord majeur, la première note de l’accord se situera sur le cercle… intérieur. Mais non, je déconne, je vous ai bien eu ! Bien évidemment, qui dit majeur dit cercle extérieur. C’est comme ça depuis le début et ce sera toujours comme ça. Pour l’exemple, on va construire ensemble l’accord de Réb Majeur.

Donc le Réb (situé sur le cercle extérieur) sera la première note de notre accord, qu’on appelle la fondamentale. Ensuite, comme vous le savez un accord majeur est constitué d’une tierce majeure entre la fondamentale et la tierce de l’accord, et d’une tierce mineure entre sa tierce et sa quinte, ce qui nous donne une quinte juste entre la fondamentale et la quinte.

Quinte juste ça ne vous rappelle rien ? Bah oui, c’est l’intervalle qui existe entre chaque note du cycle. Du coup pour trouver la quinte de l’accord, il suffit de prendre sur le cycle la note voisine de la note de départ. Par exemple, la quinte de l’accord de Réb Majeur, ce sera la note juste à côté du Réb, c’est-à-dire le Lab.

Comment faire maintenant pour trouver la tierce de l’accord ? C’est très simple : sur le cycle la tierce se trouve juste en dessous de la quinte. Donc dans le cadre de l’accord de Réb Majeur, la quinte c’est le Lab, du coup la tierce ce sera la note juste en dessous, c’est à dire le Fa. Et voilà les amis, le tour est joué. Réb, Fa et Lab, ce sont les notes de l’accord de Réb Majeur.

Aller, on se fait un autre exemple parce que je sais que vous en voulez encore. On va construire ensemble l’accord de Mi Majeur.

On commence donc par le Mi situé sur le cercle extérieur. Ensuite pour trouver la quinte, on prend la note qui vient juste après. Ah on tombe sur une enharmonie. Et pas de chance, pour l’instant on n’a pas de dièse ou de bémol au sein de l’accord pour savoir quelle note choisir entre les deux. Alors comment on fait ? On se souvient qu’un accord, c’est formé par un empilement de tierces. Et une tierce c’est quoi ? C’est un intervalle de trois notes. Donc à partir du Mi (la fondamentale), on compte trois notes pour obtenir la tierce. Mi un, Fa deux, Sol trois, et à partir de là on compte encore trois notes pour obtenir la quinte. Sol un, La deux, Si trois. Eh ben voilà, du coup on prend le Si. Si on avait pris le Dob, on aurait eu un intervalle de quarte entre la tierce et la quinte (Sol un, La deux, Si trois, Do quatre), du coup ça n’aurait pas marché.

Enfin, la tierce de l’accord se trouve sous la quinte au niveau du cycle. On a encore une enharmonie. Mais c’est le même cas de figure que tout à l’heure : on sait qu’il faut un intervalle de trois notes entre la fondamentale et la tierce donc on va choisir le Sol# (Mi un, Fa deux, Sol trois). Conclusion : l’accord de Mi Majeur est constitué des notes Mi, Sol# et Si.

 2) Former des accords mineurs

Et enfin tout dernier cas de figure : comment construire des accords mineurs grâce au cycle des quintes ? On veut un accord mineur donc la première note de l’accord se situera sur… Aller je veux tous vous entendre en cœur… Oui le cercle intérieur !! Pour l’exemple, on va construire l’accord de Sol Mineur.

Donc le Sol au niveau du cercle intérieur du cycle sera la première note de l’accord. Ensuite, on sait que l’accord mineur est formé par une tierce mineure et une tierce majeure, ce qui nous donne au total un intervalle de quinte juste entre la fondamentale et la quinte.

Donc pour trouver la quinte de l’accord ça ne change pas : on prend sur le cycle la note voisine de la note de départ. Donc à partir du Sol ce sera le Ré.

Et enfin pour terminer, il ne nous reste plus qu’à trouver la tierce de l’accord. Dans le cadre d’un accord majeur la tierce se trouvait sous la quinte, et dans le cadre d’un accord mineur, la tierce se trouve au-dessus de la fondamentale. La fondamentale c’est la note de départ le Sol, donc la tierce se sera la note située juste au-dessus c’est-à-dire le Sib. Et voilà, on a nos trois notes. L’accord de Sol mineur est constitué des notes Sol, Sib et Ré.

Aller un tout dernier exemple rapidos histoire que tout soit parfaitement clair. On va construire l’accord de Do# Mineur.

On part du Do#, la quinte ce sera la note juste à côté donc le Sol# (il y a déjà un dièse sur le Do donc ça élimine le Lab et de toute façon il nous faut un intervalle de quinte entre la fondamentale et la quinte et entre Do/Lab on a une sixte), et la tierce ce sera la note juste au-dessus de la fondamentale donc le Mi. Et voilà, l’accord de Do# Mineur est constitué des notes Do#, Mi et Sol#.

Conclusion

Eh ben voilà les amis, c’est la fin de ce tutoriel. J’espère qu’il vous a plu. Si vous êtes arrivés à ce stade de la vidéo, je suppose que vous avez aimé mon travail. Du coup je vous invite à liker la vidéo, à vous abonner à la chaîne Youtube « Composer sa Musique » en activant la cloche. De mon côté ça m’aide énormément, et de votre côté, ça vous permet de ne rien manquer des prochains tutos. Tout le monde est gagnant, comme à la fête foraine. D’ailleurs en parlant des prochains tutos, je vous donne rendez-vous dans la prochaine vidéo de la série, dans laquelle on va voir comment utiliser le cycle des quintes pour construire des suites d’accords.

En attendant, je vous invite à faire tout de suite un petit exercice. Ça me permettra de voir si vous avez bien compris les principes de cette vidéo. Construisez-moi le powerchords de Si, la gamme de Fa Majeur et l’accord de Si Mineur grâce au cycle des quintes. Et mettez-moi vos réponses dans les commentaires, comme ça je pourrai les lire et les corriger si besoin.

Et pour terminer, sachez que si vous voulez aller plus loin dans votre apprentissage, vous pouvez télécharger mon guide gratuit « L’Essentiel du solfège » qui vous expliquera toutes les bases de la discipline en 7 chapitres. Et si vous êtes vraiment chauds, vous pouvez suivre l’une de mes formations en ligne : Solfège Pratique sur l’apprentissage du solfège et Compositeur Autonome sur l’apprentissage de la composition.

Sur ce les amis, je vous à très bientôt pour de nouvelles vidéos, ciao. 😉

Note: La troisième partie du dossier sur le cycle des quintes est en ligne ! Pour la visionner c’est par ici que ça se passe: Cycle des quintes, le guide ultime (3/4): Créer des suites d’accords avec le cycle.

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10 commentaires


  • Marc Thuilier

    Excellente pédagogie sur l apprentissage des cercles magiques

    Répondre

  • Andre

    Géniales tes vidéos Alex!! Sympas à regarder et hyper pédagogiques. Bravo!!

    Répondre

  • Kiemtoreaboubacarsiriki

    Génial la vidéo

    Répondre

  • Catherine

    Super les vidéos merci merci

    Répondre

  • Roland

    Salut et bravo pour tes explications !!
    Pour l’exercice proposé j’ai trouvé ça :

    Powerchords de Si : Si / Fa#

    la gamme de Fa Majeur : Fa Sol La Sib Do Ré Mi

    l’accord de Si Mineur : Si / Ré / Fa #

    Répondre

  • Woodchi

    C’est très clair !!

    Juste une petite erreur dans la partie II.2.
    On part du Do# qui est situé sur le cercle intérieur, on trace une zone qui comprend les deux notes voisines (le Sol# et le Fa#), et on englobe toutes les notes situées cette fois ci directement au-dessus (donc le Si, le Mi et le La). Pour la septième note, on repère toujours dans notre paquet la note du cercle intérieur la plus avancée dans le sens horaire, c’est le Sol#, et à partir de là, on prend sa note voisine : le La#. Pour terminer, il ne nous reste plus qu’à classer les notes dans l’ordre et le tour est joué. Au final on obtient Do#, Ré#, Mi, Fa#, Sol#, La, Si, et Do#..

    La septième note est un Ré# au lieu du la#.

    Répondre

  • Jean marc

    Vraiment abouti.super

    Répondre

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