Comprendre la différence entre rythme binaire et rythme ternaire

Qu’est-ce qu’un rythme binaire ? Qu’est-ce qu’un rythme ternaire ? Qu’est-ce qui différencie les deux ? Et comment est-ce-que cela se traduit d’un point de vue pratique ? Dans cet article, on remet tout à plat au sujet du binaire et du ternaire.

Introduction

L’un des sujets qui pose le plus de problèmes aux musiciens, c’est la différence qui existe entre le binaire d’un côté et le ternaire de l’autre.

Souvent, on a quand même une vague idée de ce que c’est. On sait que binaire ça veut dire deux, que ternaire ça veut dire trois, on sait aussi que ça a un rapport avec les rythmes… Mais dans l’ensemble, ça reste assez flou.

Surtout qu’en musique, les termes « binaire » et « ternaire » peuvent faire référence à plusieurs choses : ça peut faire faire référence à des morceaux binaires ou ternaires (ou parle aussi de mesures binaires ou ternaires), à des rythmes binaires ou ternaires, et même à des façons de jouer ces rythmes. Dans ces conditions, il est donc parfaitement normal de se mélanger les pinceaux.

C’est pour cette raison que j’ai voulu faire cet article. Il me tenait à cœur de démêler toute cette pelote de laine, afin que tout soit parfaitement clair dans votre esprit au sujet du binaire et du ternaire.

Qu’est-ce qu’un rythme binaire ? Qu’est-ce qu’un rythme ternaire ? Qu’est-ce qu’un morceau binaire ? Qu’est-ce qu’un morceau ternaire ? Et quel lien il y a-t-entre « morceaux binaires / ternaires » et « rythmes binaires / ternaires » ? C’est ce qu’on va voir ensemble maintenant.

I / La structure rythmique

Tout d’abord, pour comprendre la différence qui existe entre un rythme binaire et un rythme ternaire, il faut que vous compreniez la différence qui existe entre un morceau binaire et un morceau ternaire. Et pour cela, nous allons commencer par parler de la structure rythmique.

Tous les morceaux possèdent ce qu’on appelle une structure rythmique.

Une structure rythmique, c’est un ensemble d’éléments qui viennent structurer le rythme. Il en existe plusieurs, et le premier d’entre eux, c’est « les temps ».

1) Les temps

Derrière chaque morceau, se cache un battement régulier, comme un cœur qui bat. (Parce que oui, la musique est vivante, et ça c’est beau).

Entre chaque battement il y a une durée, et cette durée, c’est ce qu’on appelle « un temps ».

Ces temps font office de colonne vertébrale pour le rythme, puisque c’est autour d’eux que vont venir se greffer les différents rythmes.

Par exemple, dans un morceau où la noire vaut un temps, on sait qu’on devra jouer cette noire le temps d’un battement. Idem, dans ce même morceau, puisque la blanche vaut deux temps, on devra la jouer le temps de deux battements etc. Je vous renvoie à ma vidéo sur la valeur des notes pour plus d’informations sur ce sujet.

2) La mesure

Le deuxième élément qui permet de structurer rythmiquement le morceau, c’est la mesure.

En musique, on va regrouper les battements du morceau (donc les temps) par paquets égaux, et ces différents paquets, c’est ce qu’on appelle des mesures.

Par exemple, si on prend un extrait de partition du morceau « Au Clair de La Lune », on voit qu’effectivement, chaque mesure contient le même nombre de temps. En l’occurrence quatre.

La règle nous dit que chaque mesure doit contenir le même nombre de temps, mais elle ne nous dit pas combien de temps exactement. Du coup, il existe plusieurs manières de découper un morceau de façon à ce que chaque mesure contienne le même nombre de temps.

Il en existe principalement trois :

  • Une découpe par paquets de deux : c’est-à-dire que le morceau va contenir deux temps par mesure
  • Une découpe par paquets de trois : le morceau va contenir trois temps par mesure
  • Et une découpe par paquets de quatre : le morceau va contenir quatre temps par mesure

A partir de là, il y en a peut-être certains d’entre vous qui vont se dire :

« Ah ok, donc c’est ça un morceau ternaire ! C’est un morceau qui contient 3 temps par mesure ? »

Eh bien non pas du tout, ça n’a rien à voir. 🙂 Et ça, c’est souvent l’un des plus gros points de confusion au sujet du binaire et du ternaire.

Le fait qu’un morceau soit binaire ou ternaire n’a rien à voir avec le nombre de temps qu’il contient dans sa mesure. Donc même si un morceau contient 3 temps par mesure, ça ne fait pas forcément de lui un morceau ternaire.

Alors du coup, qu’est ce qui fait qu’un morceau soit binaire ou ternaire ? C’est lié à au temps en lui-même. Et ça c’est justement un autre élément de la structure rythmique qu’on appelle la structure des temps.

3) La structure des temps

Comme on l’a vu, derrière chaque morceau il existe un battement régulier où la durée entre chaque battement vaut un temps, et c’est autour de ces temps que vont venir s’organiser les différents rythmes.

Le truc, c’est qu’il existe en fait deux types de temps : les temps qui de par leur structure sont divisibles par deux (c’est ce qu’on appelle des temps binaires) et les temps qui de par leur structure sont divisibles par trois (c’est ce qu’on appelle des temps ternaires).

Et vous l’aurez deviné, lorsqu’un morceau possède des temps binaires, c’est un morceau binaire (on parle aussi de « mesure à temps binaire » ou de « mesure binaire »), et lorsqu’il possède des temps ternaires, c’est un morceau ternaire (on parle aussi de « mesure à temps ternaires » ou de « mesure ternaire »).

Maintenant que vous avez une idée générale de ce que sont les morceaux binaires et ternaires, je vous propose qu’on rentre un peu plus dans les détails. Et pour commencer, on va parler des morceaux binaires.

II / Les morceaux binaires (ou mesures binaires)

1) Qu’est-ce qu’un morceau binaire ?

Comme on l’a vu, ce qui caractérise un morceau binaire, c’est que ses temps sont binaires. Autrement dit, ils sont divisibles par deux.

Mais ça veut dire quoi concrètement un temps divisible par deux ? Pour le comprendre, il faut d’abord que je vous explique la notion de figures de notes de valeur simple.

2) Les figures de notes de valeur simple

Dans ma vidéo sur la lecture de partitions, je vous avais expliqué que ce qui permettait de savoir sur combien de temps jouer une note, c’était sa forme. Il existe plusieurs formes de notes, que l’on appelle les figures de notes, et chacune de ces figures de notes correspond à une durée bien précise.

Il existe cinq principales figures de notes : la ronde, la banche, la noire, la croche et la double croche et chacune de ces figures correspond à une durée.

Au sommet de la hiérarchie, on retrouve la ronde qui est la figure de note avec la plus longue durée. La ronde, c’est ce qu’on appelle l’unité de valeur, parce que toutes les autres figures de notes découlent d’elle.

C’est comme dans Fullmetal Alchemist : on a Le Père qui est au sommet, et on a tous les Homunculus qui découlent de lui. Et si vous n’avez jamais vu ou lu ce manga foncez, c’est un chef d’œuvre. 😉

Pour en revenir à nos moutons, on a la ronde qui est l’unité de valeur, et à partir de là on a créé les autres figures de notes. Pour ça on a pris la ronde, et on l’a coupé en deux. On a alors obtenu une nouvelle figure de note, qui vaut la moitié de la ronde, et qu’on a appelé la blanche.

A partir de la blanche, rebelotte : on l’a coupé en deux pour obtenir une nouvelle figure de note qu’on a appelé la noire et qui vaut la moitié d’une blanche et donc le quart d’une ronde. Et ainsi de suite avec la croche et la double croche.

Et donc vous voyez qu’à chaque fois, pour obtenir ces différentes figures de notes, on est partis de la ronde et on l’a coupé en deux. Autrement dit, tous ces figures de notes sont divisibles par deux. Et ça justement, c’est ce qu’on appelle des figures de notes de valeur simple.

3) Morceau binaire et figures de notes de valeur simple

Maintenant que vous avez compris ça, on va pouvoir revenir à nos histoires de morceau binaire.

Un morceau binaire vous le savez, c’est un morceau dont les temps sont divisibles par deux. Et du coup un temps divisible par deux c’est quoi ? C’est un temps sur lequel on va pouvoir placer l’équivalent d’une figure de note de valeur simple (comme la ronde, la blanche, la noire, la croche etc…), parce que par définition, ces figures de notes sont divisibles par deux.

Pour dire les choses de façon un peu plus conventionnelle : on dit que dans un morceau binaire, le temps (ou l’unité de temps c’est la même chose) est représenté par une figure de note de valeur simple.

Je vais vous donner un exemple ça sera plus concret : on va prendre la partition du morceau « Elephant » de Tame impala.

C’est un morceau en 4 temps. Et vous voyez qu’au niveau des rythmes, sur chaque temps on a l’équivalent d’une noire. Donc dans ce morceau, l’unité de temps, c’est la noire. Et puisque la noire est un rythme de valeur simple qui est divisible par deux, on est en présence d’un morceau binaire.

En fait, vous pouvez voir tout ça comme une histoire de legos. Les temps du morceau, c’est les socles sur lesquelles vous allez placer vos legos. Et les figures de notes, c’est les legos eux-mêmes. Et donc dans un morceau binaire, les socles ont un design particulier, ce qui fait qu’on peut accrocher dessus qu’un certain type de lego adaptés à ces socles.

4) Sonorité d’un morceau binaire

Et c’est quoi la conséquence d’avoir un morceau binaire ? Ça se répercute au niveau de sa sonorité.

Les morceaux binaires, de par leur structure de temps divisibles par deux, vont avoir une sonorité assez carrée. Et le morceau qui illustre parfaitement cette sensation, c’est Back in Black d’ACDC. (Vous pouvez aussi écouter le morceau « Elephant » de Tame impala où on ressent aussi très clairement ce côté carré.

Voilà, maintenant que vous savez ce que c’est qu’un morceau binaire, on passe au ternaire.

III / Les morceaux ternaires (ou mesures ternaires)

Bon cette fois on va aller un peu plus vite parce que je pense que vous avez compris la logique.

Mais dites-moi, si vous êtes encore en train de lire ces lignes sur un sujet aussi technique que le binaire et le ternaire, c’est que vous appréciez ma façon d’expliquer la musique non ? Avouez : vous n’êtes pas insensibles à mes métaphores à base de Lego et de mangas. Je le savais ! 🙂

Dans ces cas-là, vous allez adorer ma formation « Solfège Pratique ».

Solfège Pratique, c’est ma formation ultime pour tout connaître du solfège. Elle s’adresse à ceux que j’appelle personnellement les « traumatisés du solfège », car tout y expliqué de la façon la plus simple et la plus claire qui soit. (Contrairement à ce qu’on peut trouver dans la majorité des livres de solfège, ou des écoles de musique). 😉

On démarre de zéro, mais à l’issu de la formation, vous serez capables de lire des partitions, vous maîtriserez les rythmes, vous connaîtrez tout des gammes et des accords, et vous serez familier avec l’harmonie. Pour tout savoir sur cette formation, cliquez simplement sur le bouton ci-dessous :

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1) Qu’est-ce qu’un morceau ternaire ?

Contrairement aux morceaux binaires, les morceaux ternaires possèdent des temps qui sont non pas divisibles par deux mais par trois.

La conséquence de ça, c’est que ces temps ne peuvent plus être représentés par des figures de notes de valeur simple. Ba oui : les figures de notes de valeur simple sont divisibles par deux, alors que là on a besoin de valeurs qui puissent être divisibles par trois.

Si je reprends ma comparaison avec les legos, en ternaire on a des nouveaux socles, du coup on ne peut plus accrocher dessus des legos qui à la base, étaient prévus pour les socles binaires. On va avoir besoin de nouveaux legos adaptés à ces socles ternaires. Et ces nouveaux legos, c’est les valeurs pointées.

2) Les valeurs pointées

Une valeur pointée, c’est tout simplement une valeur simple à laquelle on a ajouté un point de prolongation. Comme le point ajoute à la figure de note la moitié de sa valeur, on obtient au final une nouvelle entité divisible par trois.

Je vais donner des exemples, vous allez comprendre tout de suite.

Une ronde pointée, c’est une ronde à laquelle on a ajouté la moitié de sa valeur. La moitié d’une ronde, c’est une blanche. Donc une ronde pointée ça équivaut à une ronde plus + une blanche, c’est-à-dire à 3 blanches.

Idem, une blanche pointée c’est une blanche + une noire, donc ça équivaut à 3 noires, une noire pointée c’est une noire plus une croche donc ça équivaut à trois croches etc.

Donc vous voyez qu’en ajoutant à une figure de note de valeur simple un point, on obtient ce qu’on appelle une valeur pointée qui elle, est divisible par trois.

3) Morceau ternaire et valeurs pointées

Maintenant, si on revient à nos histoires de morceaux ternaires, on sait qu’un morceau ternaire, c’est un morceau dont les temps sont divisibles par trois.

Et qu’est-ce que ça veut dire exactement un temps divisible par trois ? C’est un temps sur lequel on peut placer l’équivalent d’une valeur pointée, puisque par définition, ces valeurs-là sont divisibles par trois.

Donc concrètement, là où en binaire l’unité de temps correspondait à une figure de note valeur simple (comme par exemple la ronde, la blanche, ou la noire), en ternaire l’unité de temps correspond à une valeur pointée, comme par exemple la ronde pointée, la blanche pointée, la noire pointée etc.

Encore une fois je vais vous donner un exemple pour que ce soit encore plus clair : on va prendre le morceau « Feeling Good » de Muse.

Feeling Good, c’est un morceau qui compte 2 temps par mesure, mais sur chaque temps, on voit qu’il y a l’équivalent d’une noire pointée. Donc puisque l’unité de temps du morceau correspond à une valeur pointée, c’est du ternaire.

4) Sonorité d’un morceau ternaire

Cette structure des temps divisible par trois donne aux morceaux ternaires un côté assez swing. C’est complétement différent de la sensation carrée des morceaux binaires.

Vous pouvez par exemple écouter les morceaux « Feeling Good » de Muse ou « C’est Extra » de Léo Ferré pour vous en rendre compte.

Donc pour résumer : un morceau binaire, c’est un morceau qui possède des temps binaires. Autrement dit, dans ces morceaux, ce qui est égal un temps (ce qu’on appelle l’unité de temps), c’est l’équivalent d’une figure de note de valeur simple, c’est-à-dire une figure de note divisible par deux (comme par exemple la ronde, la blanche ou la noire). Et du fait de ces temps divisibles par deux, les morceaux binaires ont tendance à sonner de façon assez carrée.

De l’autre côté, un morceau ternaire c’est un morceau qui possède des temps ternaires. Dans ces morceaux, ce qui est égal à un temps, c’est l’équivalent d’une valeur pointée (qui est par définition divisible par trois), comme par exemple la ronde pointée, la blanche pointée, la noire pointée etc. Et avec cette structure de temps divisibles par trois, les morceaux ternaires vont sonner de façon un peu plus swing.

IV / Différence entre rythme binaire et ternaire

Maintenant que vous avez compris la différence qui existait entre morceau binaire et ternaire, on va pouvoir passer à la différence qui existe entre rythme binaire et ternaire.

1) Qu’est-ce qu’un rythme binaire ?

Alors c’est quoi un rythme binaire ? C’est tout simplement un rythme utilisé dans le cadre d’un morceau binaire. Par exemple dans le morceau de Tame Impala, tous les rythmes sont binaires parce que le morceau est binaire.

2) Qu’est-ce qu’un rythme ternaire ?

Idem, un rythme ternaire, c’est un rythme utilisé dans le cadre d’un morceau ternaire. Dans le morceau de Muse, tous les rythmes sont ternaires parce que le morceau est ternaire.

Mais, c’est là où les choses se compliquent un peu, c’est que vous pouvez retrouver des rythmes ternaires dans des morceaux binaires, et des rythmes binaires dans des morceaux ternaires. Comment c’est possible ? Grâce à ce qu’on appelle « la division artificielle du temps ».

3) La division artificielle des temps

La division artificielle des temps, c’est le fait de garder la structure du temps telle quelle, mais de couper la figure de note présent sur ce temps différemment.

Par exemple, dans un morceau binaire, on va prendre une figure de note de valeur simple (comme la noire), mais au lieu de la couper en deux comme d’habitude (pour obtenir deux croches), on va la couper en trois. On obtient alors un nouveau rythme que l’on appelle le triolet de croches et qui est ternaire.

Ce triolet de croches donne l’impression d’être dans un morceau ternaire (parce que la figure de note est divisée en trois partie égales), mais puisqu’il est toujours égal à une noire (donc à une figure de note de valeur simple), on reste dans un morceau binaire.

Et l’inverse est aussi vrai: dans les morceaux ternaires, il existe des rythmes binaires (que l’on appelle les duolets) qui permettent d’apporter un peu de sonorité binaire dans un contexte totalement ternaire.

Conclusion

Voilà les amis, avec tout ça, je pense que vous devriez y voir beaucoup plus clair au sujet du binaire et du ternaire. En tout cas si vous avez des questions n’hésitez pas à me les poser dans les commentaires de l’article.

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Sur ce les amis, je vous dis à très bientôt pour de nouveaux tutos, ciao. 😉

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4 commentaires


  • Dumons

    C’est bien, mais ça manque d’exemples musicaux concrets (des chansons) qui seuls permettent de comprendre. J’ai enduit dire que Fantasia comportait des passages en ternaire par exemple. En tout cas merci.
    Bertrand

    Répondre

    • Alex

      Il y a des exemples musicaux concrets dans la vidéo associée à l’article.

      Répondre

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